Chaque saké, quel qu'il soit, est le fruit d'une subtile alchimie entre un savoir-faire amélioré au fil des siècles et des ingrédients méticuleusement choisis. Le Toji est le chef d'orchestre de cette symphonie et par ses choix, il détermine le profil aromatique, la catégorie du saké et par conséquent, son positionnement tarifaire sur le marché.
Nous avons eu le plaisir de rencontrer un personnage fascinant en mars dernier lors d'un voyage à Yamaguchi. Mie Abe est Toji de la brasserie Hatsumomidi. Le fait d'être femme toji est si rare dans le monde conservateur du saké que cela mérite qu'on s'y attarde. En tous cas, l'histoire de Mie a attisé notre curiosité !
Halloween marque la fin de l’année celtique et le passage entre les mondes des vivants et des morts. Une tradition qui partage, avec les kaidan japonais, une certaine fascination pour le surnaturel. Les costumes et histoires de fantômes d’Halloween rappellent les fantômes yūrei et les yōkai des récits de kaidan et, bien que venant de cultures différentes, toutes deux mettent en lumière une fascination commune pour les mystères de l’au-delà, pour l’invisible et l’inexplicable.
Nous vous emmenons aujourd’hui dans l’extrême sud du Japon, sur l'île de Kyūshū, à Kumamoto et Hitoyoshi exactement. Une région dominée par l'un des plus grands volcans actifs au monde, le mont Aso, et renommée pour sa richesse naturelle, ses sources chaudes et ses traditions culinaires où le shochu tient une place de choix.
Si vous suivez nos communications et plus généralement l’actualité du saké, vous êtes certainement au fait des liens qui unissent la brasserie de Shichiken et le grand chef français Alain Ducasse. Tous deux collaborent depuis trois ans autour de valeurs nouvelles alliant le savoir-faire japonais et la gastronomie française. Au gré de cette magnifique collaboration naissait le Alain Ducasse Sparkling Sake en 2021, un saké pétillant. Puis, en 2023, c’est un shochu âgé en fût de whisky qui...
Deux rhums d'okinawa et deux cocktails rafraichissants, c'est le programme de cette communication estivale ! L'occasion de vous parler de la distillerie d'Iejima, l'une des rares au Japon à produire du rhum à partir de jus de canne frais.
En ce 14 juillet, Fête Nationale, nous avons une nouvelle fois choisi de mettre à l’honneur cette jeune brasserie française, Azerou Saké. Nous vous avions déjà parlé de leur projet ici, mais l’occasion nous est de nouveau donnée avec la sortie de deux produits, des sakés non pasteurisés dont la fraîcheur et la qualité vous surprendront.
Vous connaissez certainement les Yokai, ces créatures surnaturelles issues du folklore japonais. Elles sont décrites comme des esprits malveillants ou espiègles qui symbolisent les ennuis du quotidien ou des événements insolites. Elles peuvent prendre la forme d’un animal, d’un humain, ou même d’un objet.
Certes, le temps n’est pas encore au beau fixe, mais rien ne nous empêche de penser aux cocktails que l’on servira cet été, après une longue journée ensoleillée ! Voici trois grands classiques du gin dans un twist tout japonais, très herbacé, grâce à l’expertise de la distillerie de Yomeishu Seizo sur les plantes médicinales. Et pour les préparer de belle manière, nous vous offrons des accessoires en cadeau !
Avec un indice de 240 ppm, l'eau de Honjuku est particulièrement dure pour le Japon. Ce chiffre ne vous dit peut-être pas grand chose, mais il conditionne directement la qualité et l'originalité des produits de la brasserie dont nous avions envie de vous parler aujourd'hui, la brasserie de Iwase Shuzo.
Loin des artifices et des arguments marketing, le saké Izumo Kamba que nous avons le plaisir de vous présenter aujourd’hui est un saké rosé profondément ancré aux traditions shintos et aux croyances ancestrales. Produit par une maison que nous apprécions tout particulièrement, Sakemochida Honten, voici l’histoire d’un saké conçu comme une offrande aux divinités.
A Okayama, il est possible de découvrir un saké particulier produit à partir d’un riz qui l’est tout autant, le riz Omachi. Focus sur la brasserie de Kumaya Shuzo.
Le Japon est actuellement en plein Hanami, la saison de floraison des cerisiers. Les cerisiers ont une signification historique et symbolique, ils sont associés à la notion de pureté et de perfection dans la culture japonaise. Ils sont symboles de beauté, de renouveau et de la fugacité de la vie, une notion connue sous le nom de « Mono no aware » que l’on peut traduire par « la sensibilité pour l'éphémère ».
Voici une boisson ultrapopulaire au Japon et qui reste pourtant assez méconnue en France. Originaire de Kyushu, son histoire, la manière dont elle est produite, et sa versatilité en termes de modes de consommation en font un sujet très intéressant à creuser. C’est ce que nous vous proposons de faire dans cette communication.
En Irlande, le trèfle est appelé « shamrock », un nom qui viendrait du gaélique ancien « seamrog » qui signifie « petite plante à trois feuilles ». C’est également le nom que la brasserie Tanaka Shuzo a décidé de donner à l’une de ses cuvées spéciales, le Shamrock Junmai Genshu. Le lien entre le saké et Saint Patrick n’est pas évident, mais la symbolique de la trinité qu’évoque cette petite plante à trois feuilles est tout sauf inintéressante !
Le saké koshu, également appelé "Jukusei-shu" ou "saké mûri", désigne une catégorie spécifique de saké japonais ayant subi un vieillissement d'au moins trois ans. Le terme "koshu" lui-même se traduit par "vieux" en japonais. Ce type de saké représente seulement 1% de la production totale, mais contrairement à la plupart des sakés, généralement consommés jeunes pour en apprécier la fraîcheur et les arômes fruités, celui-ci développe des saveurs plus complexes et des caractéristiques propres au...
Cela fait maintenant quelques temps que nous souhaitions vous parler de Hayashi Honten, une brasserie située en plein cœur du Japon, dans l’incontournable préfecture de Gifu. Dans cet article de blog vous découvrirez l’environnement incroyable entourant la brasserie et comment cette dernière a réussi à se démarquer en développant une méthode unique pour la production de ses sakés.
Le casse-tête consistant à trouver une idée originale pour la Saint-Valentin arrive très bientôt. Vous souhaitez sortir du classique trio « fleurs - bijoux - parfums » ? Nous avons pensé que ces quelques propositions autour du saké pourraient amener un peu d’originalité, coller davantage avec vos intérêts, et vous donner surtout une occasion de les partager.
Le saké présente la particularité de pouvoir être dégusté sur une large plage de températures allant de très frais (5°C) à vraiment chaud (60°C). Frais, il est appelé "Reishu", dégusté à température ambiante, il prend le nom de "Hiyazake", et le saké chaud devient "Kanzake".
En cette période entre Noël et nouvel an, nous avions envie de vous parler du Daruma. Connaissez-vous cette figurine traditionnelle japonaise faite de papier mâché et peinte en rouge vif ? Elle représente un moine barbu sans bras ni jambes, assis en méditation. Elle tire son origine des enseignements de Bodhidharma, le fondateur du bouddhisme Zen.
Nous avions envie de vous parler du service du saké. L’occasion de faire passer quelques conseils, mais aussi de montrer certaines possibilités de présentation en espérant qu’elles soient pour vous sources d’inspiration.